Tout comme Pascal MONTECOT, sur sa page Facebook du 30 septembre, il nous est apparu nécessaire d’en faire de même. C’est avec
le fac-similé de l’article de la Provence du même jour que notre maire revient sur cette séance du conseil municipal. Le correspondant Pélissannais de ce journal a une façon pas très objective de commenter la photo des antennes « Le collectif du lotissement de la Tour et des Vigneroles était partie prenante dans la résiliation du bail de l’antenne relais ». Non
François… le collectif n’était pas partie prenante… C’est grâce à son action et uniquement grâce à
cela, que ce résultat a pu être obtenu. Présenter le collectif comme partie prenante, c’est faire la part belle aux explications malhonnêtes développées par le maire, reprises dans le « Régional » du 2 octobre : « il nous fallait avancer avec précautions face à de puissants groupes qui ne sont pas toujours réceptifs aux demandes. Et puis il fallait aussi déterminer le meilleur endroit pour une couverture optimale des réseaux de
téléphonie ». Oui nous avons à faire à des puissants groupes, dont les intérêts financiers passent avant tout, mais dans le cas
présent, ces puissants groupes avaient mains et pieds liés avec les baux signés !
Monsieur le maire, vous avez avec ces puissants groupes, déterminé le meilleur endroit pour une couverture optimale des réseaux,
vous savez donc où est situé cet endroit, pourquoi ne pas en avoir parlé aux élus ? Encore un exemple qui illustre bien votre conception de la démocratie, pour vous le conseil municipal est la chambre d’enregistrement de vos décisions. Sur le site Internet de Pélissanne autrement, Francis GRANZOTO, fait le même constat que celui que nous faisons depuis
2008, des conseils municipaux sans débat : le sujet soumis à délibération est introduit par la lecture d’une note de synthèse complétée par un vague commentaire, puis soumis au vote et on passe à la suite.
Nous invitons nos lecteurs à lire l’article de Francis GRANZOTO, « un peu plus de démocratie à Pélissanne http://pelissan neautrement.com/2013/10/05/482/ et celui de Dominique AUBERT « vers un démantèlement total de l’antenne des Vigneroles » http://pelissanneautrement.com/2013/10/05/468/
Dans un nouvel article sur les Antennes des Vigneroles La Provence du 5 octobre résume parfaitement la réalité des faits en
titrant : « Le collectif des Vigneroles fait plier
l’antenne relais ».
Il aura fallu une année pour que le collectif des Vigneroles, mette un terme aux
10 années de mensonges de Pascal MONTECOT !
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La délibération n° 7, portait sur la dénomination des parcelles AR 234 et AP 0595, concernant respectivement le lotissement des
amandiers et des oliviers. Le président de la société taurine n’ayant pas soulevé la moindre observation, c’est à l’unanimité du conseil municipal que les deux voies concernées ont été dénommées
« impasse des amandiers » et « rue du rameau ».
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Vous avez donné monsieur le maire, en début de séance, un autre exemple de votre
grande aptitude à « ouvrir le parapluie », sur la question de la participation au vote de David COLTELLI lors de l’attribution des
subventions aux associations, lorsque vous avez confirmé que vous n’avez pas informé le conseil que M. COLTELLI ne participait pas au vote (vous avez cependant omis de signaler qu’il aurait dû
également quitter la salle), mais que M. COLTELLI l’avait signalé à Mme RAYNAL. Depuis quand un élu doit-il informer une employée communale de sa participation ou non à une
délibération. Pourquoi votre rappel des faits ne figure-t-il pas dans le compte rendu du conseil ?
Tout simplement parce que une fois de plus vous avez pris les élus pour des imbéciles. Mme RAYNAL, tout comme les autres employés communaux qui assistent aux réunions du conseil municipal est là
au même titre que vos administrés. Ces employés communaux sont de simples auditeurs qui devraient d’ailleurs se retrouver sur le banc des
auditeurs !
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Pour rester sur l’ouverture de cette séance, M. le maire s’est contenté de présenter Maria TUR, en la nommant tout simplement, sans toutefois préciser qu’elle remplaçait Didier
GAULON, omerta oblige quant à l’embauche de son fidèle ami HOLVECK. Pour notre maire il est plus important de récompenser un ami, en lui créant un emploi de complaisance, que de remplacer le
départ en retraite de la puéricultrice de classe supérieure (Cf.la modification du tableau des effectifs du Personnel communal). Peut-être avez-vous estimé qu’il n’était pas nécessaire d’en dire
plus, (pourquoi Mme TUR et non Mme MOAL ou M. HOLVECK) les hirondelles l’ayant fait pour vous (cf. notre article du 22 septembre : conseil municipal Pélissanne, la chambre
d’enregistrement du monarque).
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Moins de 6 mois avant l’échéance de son mandat notre bon samaritain vient de s’apercevoir que parmi le personnel communal il y
avait des salariés en situation précaire ! Il a donc décidé de transformer le contrat de 12 vacataires en contrat en durée déterminée pour une
période de 10 mois, et après monsieur le maire ? Un débat sur les vacataires et autres salariés précaires de la commune serait nécessaire. Mais ce n’est hélas pas sur
vous que ceux-ci peuvent compter pour lancer ce débat !
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A la question posée par l’opposition sur le refus à la famille SAEZ de mettre une table de condoléances sur le parvis de la mairie, Pascal MONTECOT a répondu d’une s’agissait d’une erreur administrative !
Il présente ses excuses à la famille SAEZ. Mais qui donc peut croire de telles sornettes ? Qui peut croire que l’employée ayant menacé la famille SAEZ de faire intervenir la police
municipale au cas où celle-ci s’aviserait de ne pas obtempérer, ait fait cette menace de sa propre
initiative ?
« Ce n’est pas moi le fautif, c’est l’employée communale », si tel était le cas, cela signifierait monsieur le maire
que vous laissez prendre à des employés communaux des décisions qui sont de votre ressort, ou de celui de vos adjoints, ce que nous croyons nullement mais qui vous permet d’apparaître comme le bon samaritain, les incompétents, les méchants, les vindicatifs, ce sont les
autres.