Suite à notre article « Pélissanne et son nouvel espace seniors » que nous avons également distribué aux adhérents de l’Entraide Solidarité 13, nous avons été interpellés par plusieurs personnes qui ne comprenait pas ce que « venait » faire le maire de Pélissanne, dans notre « demande de communication ».
Nous tenons donc à répondre à leur interrogation.
C’est le Conseil Général, et lui seul, qui a financé cette réalisation qui est sous la houlette du Club Pélissannais de l’Entraide Solidarité 13.
Si nous avons cité le maire de Pélissanne, c’est tout simplement pour démontrer qu’il essaie de RECUPERER, cette réalisation du C.G., l’article publié dans PéliInfo de novembre 2010, l’information en date du 9 février 2011, sur sa page Facebook l’illustrent bien.
Le maire de Pélissanne va sans doute se pavaner, essayer de « tirer la couverture » à lui lors de l’inauguration de « l’Espace Seniors » de L’ENTRAIDE SOLIDARITE 13 », il ferait mieux de faire « profil bas », car la seule raison qui le lie cette réalisation, c’est le pourquoi de cette réalisation.
Un bref historique des FAITS :
- Eté 2001, deux mois seulement après son élection Pascal Montécot entreprend d‘imposer une nouvelle déléguée au club pélissannais de l’E.S 13.
L’E.S. 13 fait échouer cette tentative de mainmise politique de Pascal Montécot.
- L’après-midi du 29 août 2001, le Pré de Citriani devient le théâtre d’une scène abracadabrantesque : près de 80 seniors, trouvant porte close doivent se résoudre à prendre leur goûter de rentrée, à l’extérieur sous un soleil de plomb.
- Juin 2002, le maire de Pélissanne adresse un courrier au siège social de l’.E.S. 13 lui précisant que la commune veut récupérer le local de la petite Brulière.
- le 21 octobre 2002, la Majorité Municipale vote la résiliation du bail qui lie la commune à L’Entraide Solidarité 13, qui est sommé de quitter le local qu’elle occupait depuis près de 50 ans, rue de la petite Brulière.
Les adhérents de E.S. 13, ne se laissent toujours pas faire, mènent bataille sur tous les fronts, saisissent la justice :
-Le 22 décembre 2006, le Tribunal administratif de Marseille annule la délibération n° 87/2002 du 21 octobre 2002. Le juge a en effet estimé que le maire a cherché à induire en erreur les conseillers municipaux cachant les motifs réels de la délibération : le but recherché n’était pas d’aider l’Entraide à se libérer du bail qui la liait à la commune, mais bel et bien, comme l’opposition l’affirmait, d’expulser le club de seniors contre sa volonté, pour des motifs politiques !