Dans son édition du 27 avril au 3 mai 2011, "le Régional" consacre dans « Echos et confidences » un article (feu sur les hirondelles) sur la condamnation de notre Président, par le Tribunal correctionnel d’Aix en Provence.
Gilbert LAURENT, n’a pas été condamné à verser 200,00 € pour dommages et intérêts à chacun des cinq policiers, mais à verser UN EURO. Les deux cent euro dont fait référence « le Régional » sont au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale (frais d’avocat).
Le maire ayant fait prendre en charge ces frais par la commune, c'est-à-dire par les contribuables pélissannais (décision du maire n° 1 du 4 janvier 2011), les cinq policiers doivent donc reverser ces deux cent euro dans les caisses de notre commune.
Lors de l’audience à laquelle notre président a été condamné, une nouvelle preuve a été apportée quant à la « non verbalisation » d’un certain commerçant : dans l’après midi du 31 mars, trois automobilistes (dont un étranger) ont été verbalisés place Cabardel, alors que deux véhicules appartenant au dit commerçant, et dont le ticket de stationnement gratuit se terminait à 14 h30, ne l’ont pas été. Un de ces 3 automobilistes nous a apporté son témoignage. Ce témoignage a été corroboré par un CONSTAT D’HUISSIER !
Cette preuve a d’ailleurs donné lieu à un « incident d’audience » entre l’avocat de notre président et celui des cinq policiers. Ce dernier prétendait que le 31 mars il n’y avait pas eu de verbalisations dans le « secteur » concerné et pour preuve l’état l’informatique des verbalisations, état adressé à l’avocat de notre président, le… matin de l’audience à 11 heures ! Une photocopie de ce document a été produite lors de cette audience… photocopie sur laquelle figurait bien le véhicule de notre témoin verbalisé !!!
Va comprendre... charles... la condamnation de notre président !