Après Indiana JONES et le "temple maudit" voici maintenant Pascal MONTECOT et le "P.L.U. maudit".
En 2002 la majorité du Conseil Municipal a décidé de doter Pélissanne d’un P.L.U.
Il a fallu attendre 2009 pour en voir les premières présentations publiques, et les documents chiffrés qui accompagnaient ces présentations remontaient toutes à 2006 au mieux.
Lors de l’enquête publique, ce sont ces mêmes chiffres 2006 qui servaient d’arguments alors que le temps avait passé et que des chiffres actualisés auraient peut-être changé certaines des argumentations présentées sur la commune.
Serait-ce la raison pour laquelle on assiste à une cascade de disparitions au sein des personnels en charge de l’élaboration de ce P.LU. 2011 ?
Décembre 2009, c’est l’adjoint à l’urbanisme qui tire sa révérence, 15 mois après avoir pris ses fonctions. Décembre 2010, la responsable de l’urbanisme démissionne en cours de contrat, fin mars 2011 on apprend que « l’ingénieur principal » nous quitte. Nous refusons de ne voir dans ces trois départs qu’une simple coïncidence d’orientation de carrières ou de convenances personnelles. Quels ont été les arguments des uns et des autres propres à convaincre le maire d’accepter tous ces départs au sein d’un projet d’envergure comme le P.L.U. ? Dans ces conditions, qui procédera aux nécessaires ajustements avec la connaissance suffisante des tenants et des aboutissants ? A moins bien sûr, comme il se murmure en ville, que le P.L.U., ne soit l’œuvre du seul maire ? Il nous a suffisamment habitué à ses décisions arbitraires et sans appel :
-« Rénovation de la place Pisavis » contre un référendum d’expression populaire rassemblant plus de 2000 Pélissannais.
- Lotissement et ensemble de Bâtiments de la Cour des Lices (176 appartement pour un projet de 76, présenté à l’enquête publique de 2005.
- Rénovation de la place Roux de Brignoles avec disparition du marché au centre ville contrairement à ses déclarations publiques lors de la présentation du projet avec un coût supérieur à 1 200 000, € contre 850 000,€ annoncés.
- Volonté acharnée de faire son « supermarché ».
UNE MALEDICTION AURAIT-ELLE FRAPPE LE P.LU. ? L’avenir nous le dira peut-être...