Jeudi 17 février, les conseillers municipaux ont trouvé dans leurs « boites aux lettres mairie », le tract ci-après, tract signé par Pascal MONTECOT, maire de Pélissanne, vice-président d’Agglopole Provence
Nul doute que ce document a été adressé à la presse locale qui fera la part belle à cette publication ! En sera-t-il de même pour la réponse que nous lui apportons présentement ?
D’après Pascal MONTECOT, le préfet n’aurait pu laisser délivrer un permis de construire dans une zone inondable, sans la moindre remarque, car le Préfet est en charge de la vérification de la bonne application du PPRI…. Il serait peut être utile que certains viennent le consulter avant de s’improviser instructeur du droit des sols…
PREMIERE QUESTION SUBSIDIAIRE : l’immeuble édifié par la SARL CORALIA, au GALION, est en zone rouge du PPRI… monsieur le maire nous vous invitons à lire ce document consultable à votre service de l’urbanisme.
DEUXIEME QUESTION SUBSIDIARE (nous allons l’adresser au Préfet et procureur de la République) : malgré nos nombreux courriers le préfet n’a fait aucune remarque sur ce dossier du Galion, pourquoi ?
TROISIEME QUESTION SUBSIDIARE : le maire affirme que l’ANEC sera certainement, une fois de plus déboutée. Comment est-il CERTAIN, de la décision du Tribunal ? C’est une question que nous allons poser au Ministre de la Justice.
QUATRIEME QUESTION SUBSDIAIRE : Pascal MONTECOT possède-t-il le fichier des adhérents de l’AD3P, de l’ANEC et des hirondelles pour annoncer leur nombre d’adhérents ?
Monsieur le maire de Pélissanne, il est notoirement connu que vous êtes un VRP multicartes (UDF, UMP, et autres). Ce n’est pas le cas des adhérents et adhérentes des Hirondelles ! Si vos groupies ont les moyens de payer des cotisations dans les différentes associations du village, ce n’est pas le cas de nos adhérents !
CINQUIEME QUESTION SUBSIDIARE : où a-t-il vu écrit que le « collectif contre l’implantation du supermarché destructeur du centre ville » était un collectif de commerçants ou d’habitants ?
PAR CONTRE en 2005 il y avait bien un COLLECTIF CONTRE LA DESTRUCTION DE LA PLACE PISAVIS, collectif représentatif de plus de 2000 électeurs Pélissannais. Qui représentait-il alors pour avoir fait fi de leur requête ?
PAR CONTRE IL A ECRIT, dans SA « lettre du maire » d’octobre 2010 : « s’opposer à l’installation de cette surface de vente, c’est s’opposer à la création de 34 emplois dont 30 réservés à des Pélissannais ». Ne sachant plus comment se sortir de cet écrit, en infraction aux textes législatifs, il ajoute aujourd’hui : « bien évidemment, si le profit des candidats, au regard des compétences escomptées, ne correspond pas au besoin du poste… »
QUI FAIT DE LA DESINFORMATION ???
Par contre, monsieur le maire, les riverains et commerçants de la place Cabardel,
De la rue de Passadouires et proches environs, auraient bien aimé être informés des travaux qui vont condamner le parking de la bibliothèque du 21 février au 4 mars. Ils ont, comme nous, découvert mardi ou mercredi les panneaux d’interdiction de stationner pendant toute cette période. Alors avant de disserter sur la DESINFORMATION, pensez à donner DES INFORMATIONS à vos administrés !